COP-16 officiel Événement parallèle
Lundi 21 octobre à 13:20 (heure locale)
Malpelo - Salle de réunion du groupe de contact 1, Plaza One (zone bleue)
Un nombre croissant d'États s'engagent activement dans des discussions et dans l'adoption de lois pénales visant à protéger la nature contre les dommages les plus graves. Ces mesures législatives sont envisagées en réponse à la reconnaissance croissante du besoin urgent de sauvegarder l'environnement. Ces lois sont considérées comme essentielles pour prévenir la dégradation écologique et garantir la santé et la durabilité des écosystèmes naturels.
Les acteurs non étatiques, y compris les entreprises, les organisations non gouvernementales et les groupes communautaires, ont un rôle crucial à jouer dans ce processus. En pilotant et en soutenant ce cadre juridique "garde-fou", ils peuvent contribuer à faciliter une transition à la fois sûre et juste. Il s'agit de promouvoir des investissements respectueux de la nature et d'encourager les innovations qui ne nuisent pas à l'environnement. Ces acteurs peuvent également préconiser et mettre en œuvre des pratiques qui s'alignent sur les nouvelles normes juridiques, contribuant ainsi à des efforts plus larges de protection de l'environnement.
Les décideurs politiques et les experts juridiques sont profondément engagés dans l'examen des implications de ces développements législatifs. Ils analysent comment les nouvelles lois peuvent être intégrées efficacement dans les systèmes juridiques existants et quels impacts elles peuvent avoir sur les différents secteurs. Leurs discussions aboutissent souvent à des feuilles de route complètes qui guident le secteur privé sur la manière de s'engager dans ces initiatives juridiques et de les soutenir. Ils recommandent notamment une collaboration avec les organisations de la société civile, qui peut renforcer l'efficacité et la portée des mesures de protection de l'environnement.
Les efforts collectifs des acteurs étatiques et non étatiques, guidés par une analyse politique et juridique éclairée, sont essentiels pour une mise en œuvre réussie des lois qui protègent la nature. Ce panel de décideurs politiques et d'experts juridiques discute des implications de ces développements législatifs et propose une feuille de route pour l'engagement du secteur privé et la collaboration avec la société civile.
Organisé conjointement par la Stop Ecocide Foundation et la République de Vanuatu
Panélistes :
Représentant de l'État de la République de Vanuatu
Représentant de l'Union européenne - (Marie Toussaint à confirmer)
Jojo MehtaDirecteur général de Stop Ecocide International
Sophie DembinskiChef de la politique publique et directrice nationale pour le Royaume-Uni, Ecosia UK (représentante des entreprises)
Aresio Valiente López (Panama), professeur à l'université de Panama, directeur exécutif du Centre populaire d'assistance juridique, président de l'Union nationale des avocats indigènes du Panama, vice-président de l'Institut de droit agraire, environnemental et indigène et membre de l'équipe juridique du Congrès général Guna, gouvernement autonome du peuple Guna.