Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme

"Une telle reconnaissance des crimes environnementaux, y compris le crime d'écocide, par les systèmes juridiques internationaux, régionaux et nationaux renforcerait la responsabilité pour les dommages causés à l'environnement.

Cofondatrice de Mission Blue

"Il y a de véritables arguments en faveur de la reconnaissance de l'écocide par la Cour pénale internationale, au même titre que le génocide. Notre existence est en jeu.

Ancien directeur exécutif de Greenpeace International

"L'histoire n'avance que lorsque des personnes courageuses se lèvent et agissent. C'est pourquoi je soutiens cette initiative citoyenne visant à reconnaître l'écocide comme le crime qu'il est".

4ème président de la Cour pénale internationale

"Je suis tout à fait favorable à ce que l'écocide devienne un crime international relevant de la compétence de la CPI.

Ancien président de la Finlande

"Mettre fin à l'écocide par le biais du droit pénal international est essentiel pour la survie de nos cultures et de nos économies et décisif pour sauvegarder les écosystèmes mondiaux avec leur variété d'espèces, en tant qu'assurance-vie collective de l'humanité".

Chanteur, auteur-compositeur, cofondateur de Meat Free Monday

"Il est clair que cette idée fait son chemin... et pas trop tôt si nous voulons éviter une nouvelle dévastation de la planète".

Journaliste, auteure et activiste

"Il est temps de faire de l'écocide un crime contre l'humanité et de donner la priorité aux droits de l'homme et de la nature afin de créer une planète saine et durable pour toutes les espèces.

Évêque de Rome et chef de l'Église catholique

"Il s'agit d'une cinquième catégorie de crimes contre la paix, qui devrait être reconnue comme telle par la communauté internationale.

Messager de la paix des Nations unies

"Le concept d'écocide n'a que trop tardé. Il pourrait conduire à un changement important dans la façon dont les gens perçoivent la crise environnementale actuelle - et y répondent".

Secrétaire général des Nations unies

"Il faut établir un crime d'écocide au niveau international"

Président de la France

"Je partage l'ambition de faire en sorte que ce terme soit inscrit dans le droit international afin que les dirigeants soient responsables devant la Cour pénale internationale.

7ème Premier ministre de Samoa

"Nous appelons tous les dirigeants à se joindre à nous pour explorer les moyens de lutter contre la destruction de l'environnement et le dérèglement climatique, la proposition d'un amendement au Statut de Rome constituant une première étape concrète.

Président de Vanuatu

"Nous appelons les Etats à rejoindre le groupe des nations qui proposent d'inclure le crime d'écocide dans le statut de Rome. Agir en sachant que des dommages graves et étendus ou à long terme seront causés à l'environnement ne peut plus être toléré".