Un cadre historique a été adopté pour protéger et restaurer la nature... et la loi sur l'écocide pourrait le maintenir sur la bonne voie.

L'équipe de Stop Ecocide International, ainsi que l'équipe du pays hôte Stop Ecocide Canada, reviennent d'une quinzaine de jours bien remplis à Montréal, lors de la COP15 de la Convention sur la diversité biologique (CDB).

Nous saluons le cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal qui a été adopté, en particulier l'importance accordée aux connaissances, aux droits et aux pratiques des communautés autochtones et locales dans l'ensemble du document, ainsi que la reconnaissance des droits de la nature.

Il s'agit maintenant de mettre en œuvre ce qui a été convenu. Pour permettre aux États et aux acteurs non étatiques de faire ce que cet accord leur demande de faire, la mise en place de cadres juridiques pénaux adéquats au niveau international sera extrêmement utile. En particulier, le fait de qualifier de crimes les pires dommages causés à la nature - l'écocide - constituera une limite extérieure essentielle et un garde-fou pour l'activité économique et la stratégie politique.

Voir la déclaration officielle de la Stop Ecocide Foundation ICI - et prochainement sur le site de la CDB.

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La Banque Triodos demande l'introduction du crime d'écocide à la Cour pénale internationale